Nom: Sanatorium Delirium, Sanatorium Nestor Pirotte

Type: Médical

Dangerosité: 4/5 (club d'airsoft)

Durée de visite: inconnu, jamais terminé

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Cette fois nous décidons de tenter un lieux un peu plus loin et surtout moins facile que les précédents. Après des heures de recherches, surtout destinées à nous rassurer vis-à-vis de la visite à venir, nous nous décidons d’un jour prévis. Nous avons lu, à divers endroits, qu’un gardien faisait des rondes, qu’il existait dans certaines pièces des alarmes et même des personnes faisant de l’airsoft. Rien de bien rassurant et le peu d’information que nous avons date de plus de 6 mois. 

 

Comme à notre habitude, nous faisons les aventurières afin d’atteindre les bâtiments. Nous nous arrêtons à proximité et là… c’est une immense déception.

 

Nous entendons des voix et des tirs, quelque part ; mais impossible pour nous de savoir de quel côté les bruits viennent. Le terrain étant vallonné, les sons viennent de partout ! Nous décidons donc d’opter pour le plus récent des bâtiments qui est, de notre position, le plus accessible rapidement.

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C’est sans trop de difficultés que nous l’atteignons et pouvons commencer la visite. Nous sommes (surtout moi) super stressées. A un tel point que je ne ressens même plus le plaisir que j’ai habituellement lorsque je découvre un nouveau lieu. Nous commençons par le rez-de-chaussée. Il y a un bazar pas possible. Visiblement, nous sommes entrées dans une zone qui doit servir de base de repli. Nous continuons notre visite du rez-de-chaussée mais à chaque tentative pour monter dans les étages, quelque chose nous en empêche ! La première fois l’accès est tout bonnement fermé par les airsofteurs et lors de la deuxième des présences beaucoup trop proches se font sentir, trop proche pour que l’on risque de se prendre une balle perdue ou simplement croiser des personnes qui ne seront vraisemblablement pas très heureuses de nous voir. Nous avons donc renoncé à continuer notre visite (le stress n’aidant pas) et avons fait demi-tour. Cette exploration est donc une déception mais nous sommes motivées pour y retourner. Notre bonne humeur nous a quand même permis de garder un souvenir positif de cette visite.

 

Erilys

 

 

 

Le mot d’Elenwë : 

 

Le stress de cette visite a été très profitable. C’est la première fois que nous étions aussi discrètes. Et malgré tout, je ne regrette pas cette visite. Lorsque j’y repense, je crois pouvoir affirmer que même si je l’étais surement moins qu’Erilys, j’étais tendue, notamment par peur d’une balle (d’une bille pour les puristes de l’Airsoft) perdue ! Quant bien même, c’est à refaire et vite !